Côtes du Rhône rosé Chevalier d’Anthelme Le Cellier des Chartreux

Dégustation du Côtes du Rhône rosé Chevalier d’Anthelme

• la robe

La robe du Côtes du Rhône rosé Chevalier d’Anthelme, est limpide, rose pâle aux reflets saumonés

• le nez

Le nez est riche et doux, sur les arômes de cerise, cassis, mûre, fraise et caramel

• la bouche

La bouche est fruitée et fraîche, équilibrée avec de la minéralité.

Crédit photo : Maria Orlova

Production du Côtes du Rhône rosé Chevalier d’Anthelme

Le terroir 

Crédit photo : routey

Le Côtes du Rhône rosé Chevalier d’Anthelme, nait de sols argilo-calcaires dans le Gard, aux alentours de Pujaut plus précisément.

En ce qui concerne l’encépagement, on a du grenache et du cinsault.

Vinification et élevage du Côtes du Rhône rosé Chevalier d’Anthelme

Cette cuvée se veut fraiche et équilibrée. Ainsi, pour ce faire, on effectue un pressurage direct et des macérations à froid.

Comment apprécier le Côtes du Rhône rosé Chevalier d’Anthelme ?

Son vieillissement

En premier lieu, choisissez un bon emplacement, qui dans l’idéal ne descend pas en dessous de 12°C et ne monte pas au-dessus de 16°C. 

Tout de même, ce n’est pas un vin à conserver mais plutôt à boire dans sa jeunesse, dans les 2 ans.

Servir  ce Côtes du Rhône rosé

Tout d’abord, munissez vous d’un thermomètre et privilégiez une température de service autour de 8-10 °C. Si toutefois vous n’avez pas de thermomètre, fiez vous à la température de votre frigo.

Avec quoi déguster le Côtes du Rhône rosé Chevalier d’Anthelme ?

C’est un vin sec, mais fruité, avec un beau bouquet. De ce fait, il fait un parfait compagnon d’apéritifs en tout genre, poissons grillés ou encore de saucisses grillées.

Crédit photo : vincent rivaud

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L’appellation Côtes du Rhône

L’appellation Côtes du Rhône est née officiellement en 1937. Elle s’étend sur 200 km entre Vienne et Avignon et compte 171 communes, sur 30 000 hectares ! De ce fait, c’est la plus vaste appellation régionale après Bordeaux.

Les vins rouges, largement majoritaires (87 %), revêtent une grande diversité qui répond à celle des sols (calcaires, cailloux roulés, molasse du miocène) et des microclimats.

D’ailleurs, la plupart des cépages utilisés sont pour les rouges et rosés (8%) : grenache, syrah, mourvèdre, carignan, counoise et cinsault.

Mais, pour les blancs (5%) on utilise le grenache blanc, la clairette, le bourboulenc, la marsanne, la roussanne et le viognier.

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Qui produit le Côtes du Rhône rosé Chevalier d’Anthelme ?

Le Cellier des Chartreux

Le Cellier des Chartreux est une cave coopérative de Pujaut dans le Gard, à quelques pas d’Avignon. Malgré tout, ce groupement de producteur est tout de même une entreprise à taille humaine.

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Quels sont les cépages du Côtes du Rhône rosé Chevalier d’Anthelme ?

Le grenache :

Originaire d’Espagne, c’est l’une des grandes variétés de qualité du sud de la France.

Parfois, on le vinifie seul. Mais, il entre le plus souvent dans des assemblages, avec d’autres cépages rhodaniens ou méridionaux aux qualités complémentaires. Ainsi, on le trouve souvent accompagné de Syrah, mourvèdre, cinsault, carignan.

Globalement, il donne des vins chaleureux, empreints d’arômes de fruits rouges (cerise) et d’épices. C’est aussi le cépage majoritaire des vins doux naturels (rouges) comme le Maury, Banyuls, Rivesaltes et Rasteau.

Crédit photo : Ove123

Le Cinsault :

C’est un cépage noir méridional, qui peut participer aux assemblages de la plupart des appellations méditerranéennes. Mais, le plus souvent, c’est un cépage accessoire.

C’est dans certaines cuvées rosées (Corbières, vin de Provence, etc) qu’il est sans doute le plus présent. D’ailleurs, il donne à ces vins des arômes fort appréciés de fraise, de pêche et de framboise.